Quels enfants laisserons-nous à la planète ? C’est la question que soulevait un documentaire d’Anne Barth en 2010. Quinze ans plus tard, alors que la dérive de l’Éducation nationale semble avoir atteint un point de non-retour, et que le taux de suicide des jeunes n’a jamais été aussi élevé, les pédagogies alternatives sont en plein essor, et pour cause. Notre capacité à éduquer positivement nos enfants aujourd’hui est la clé de la construction d’un monde désirable pour demain. Voici, parmi d’autres possibles, 5 pistes à explorer pour aller dans ce sens…
PLAN DE L'ARTICLE
ToggleLa crise actuelle, un bouleversement majeur et brutal
A l’heure actuelle, se nourrir du discours des médias officiels sans analyse critique, c’est se condamner à la peur, à la terreur, à la sidération face au spectre d’un virus désigné comme étant l’ennemi du siècle par nos dirigeants, à renfort de métaphores guerrières et autres hyperboles catastrophistes. La peur engendre le stress. Le stress engendre la maladie.
A l’opposé, se nourrir du discours des médias alternatifs et indépendants sans prise de recul, c’est se condamner à la peur, à la terreur, à la sidération face au dévoilement des mécanismes de mise en place d’une dictature totalitaire dont l’étau hideux semble se resserrer chaque jour un peu plus sur nos vies. La peur engendre le stress. Le stress engendre la maladie.
Existe-t’il une troisième voix, une troisième voie ? La santé, la liberté et le bonheur sont-ils encore permis dans ce monde en crise ? Comment ne pas céder à la panique, à l’affolement, dans un contexte aussi déstabilisant ? Comment garder le cap, et garder espoir, lorsque notre santé, nos emplois, nos liens sociaux, notre avenir, en somme tous les fondements de notre vie se voient simultanément menacés, percutés ?
Pourquoi sommes-nous si vulnérables face à cette crise ?
En 2018, je créais Ralentir pour mieux avancer, dont la mission est d’accompagner l’humanité en transition, en incitant tout un chacun à se donner comme priorité absolue de travailler à retrouver sa souveraineté personnelle, afin de se mettre en capacité d’incarner un nouveau paradigme pour le monde. Un paradigme plus sain, plus conscient, pour une humanité plus solidaire et plus résiliente.
A la base de cette mission, le constat suivant : la quasi-totalité d’entre nous ne développe pas son plein potentiel vital, loin s’en faut. Nous sommes tous plus ou moins affaiblis, diminués, limités par nos modes de vie et de pensée. Parmi les principaux facteurs qui nous handicapent, notons notamment la malnutrition au sens large du terme, un conditionnement mental toxique, une gestion émotionnelle inadéquate, la déconnexion à la nature, et son corollaire, la perte de sens.
Tout ceci nous rend vulnérables. Nos croyances auto-limitantes nous rendent manipulables et corvéables. Nos modes de vie modernes nous font souffrir d’un déficit chronique de force vitale qui nous anesthésie, et nous condamne à la dépendance au système et à la soumission passive à l’autorité. Nos émotions négatives nous paralysent et nous épuisent encore davantage, bouclant la boucle du processus d’auto-sabotage. Dépassés, dénaturés, nous externalisons la responsabilité de notre santé, de notre sécurité, de notre éducation, et en réalité, de quasiment tout ce qui nous concerne à un pouvoir sur lequel nous n’avons aucune prise.
Cela fait de nous les proies idéales de maladies opportunistes mais plus encore et surtout… d’opportunistes malades !
La dictature sanitaire, conséquence de cette vulnérabilité
Peut-être penserez-vous que je noircis excessivement le tableau. Et pourtant…
Si nous étions acteurs de notre santé, nous n’aurions pas sombré dans la paranoïa collective face à un virus qui n’est une menace que pour des personnes en fin de vie, immunodéprimées et souffrant de comorbidités. Car si nous étions acteurs de notre santé, notre bon sens aurait primé sur la propagande, les mensonges et la manipulation médiatique.
Si nous étions maîtres de nos émotions, nous n’aurions pas cédé à la panique générale créée par les discours alarmistes de nos dirigeants. Nous aurions pu prendre le recul nécessaire à la mise en perspective des faits, des chiffres annoncés. Le recul permettant une vision claire et juste de la situation. Nous aurions pris le temps d’écouter le point de vue des experts indépendants, et nous aurions alors pu relativiser les choses, et exiger massivement des mesures plus sages, plus proportionnées au problème, mais aussi plus efficaces !
Si nous avions fait l’expérience de notre puissance intérieure et de notre valeur réelle, nous n’aurions pas accepté de troquer notre liberté contre un simulacre de sécurité. Et nous n’accepterions pas, à l’heure actuelle, que des millions d’entre nous, êtres humains, dans le monde entier, soyons enfermés, privés du jour au lendemain de nos droits fondamentaux, acculés à la faillite, à la famine, au suicide. Que nos enfants, tout comme nous, soient intimidés, muselés, criminalisés sans aucun fondement scientifique et en dépit du bon sens le plus élémentaire.
Si nous étions sains de corps et d’esprit, il nous sauterait aux yeux, sans l’ombre d’un soupçon, qu’aucune excuse, aucun prétexte, sanitaire ou autre, ne saurait justifier raisonnablement des mesures aussi extrêmes et aussi lourdes de conséquences. Et que par conséquent, tous les gouvernants et leurs complices, médiatiques ou pseudo-scientifiques, qui tentent de nous convaincre de la légitimité de ces mesures et de nous y soumettre, font montre d’un flagrant délit d’abus de pouvoir et de confiance, et sont indignes des fonctions qu’ils occupent et doivent en être destitués sans plus attendre.
Mieux être aujourd'hui pour mieux transcender la crise
C’est pourquoi plus que jamais, aujourd’hui, il est temps pour chacun d’entre nous de retrouver son plein potentiel pour mieux se réapproprier sa souveraineté personnelle.
La dictature sanitaire que nous subissons à l’heure actuelle, ne pourra être dénoncée pour ce qu’elle est et tenue en échec que par une masse critique d’individus conscients et incarnant pleinement le pouvoir qui leur a été conféré par la nature. Une masse critique d’individus forts de leur souveraineté personnelle, laquelle transcende les lois écrites. Lorsque les lois sont injustes, il est de notre devoir de résister à l’oppression. Mais pour ce faire, il est nécessaire de disposer d’un niveau suffisant d’énergie physique et mentale.
Notre sentiment de faiblesse, d’incapacité, de solitude construit et alimenté tout au long de notre vie par une société dénaturante et anxiogène, est aujourd’hui exacerbé par le champ lexical ambiant de la menace et de la mort. Ces insécurités sont les piliers de notre obéissance. Ébranlez ces piliers, et c’est le consentement des masses qui s’écroule, emportant dans sa chute toutes les tentatives de contrôle dictatorial, aussi puissantes et organisées soient-elles.
La seule véritable force des tyrans, c’est notre faiblesse. Leur seule véritable légitimité, c’est celle que nous leurs conférons. Leur seul véritable pouvoir, c’est notre obéissance.
Nous vivons un moment historique. Nous sommes dans l’œil du cyclone. Il n’est plus possible de procrastiner le moment de construire les moyens de notre protection. Il nous faut sans plus attendre nous inoculer à grande échelle contre le virus de la peur si nous voulons sortir indemnes et même grandis des tumultes passagers que l’humanité traverse, lesquels tumultes sont une grande opportunité d’accélérer la transition vers une humanité plus consciente et plus résiliente, progressant dans la voie de l’épanouissement des peuples.
Le pré-requis pour cette transition sociétale, est la transition personnelle du plus grand nombre possible d’entre nous, vers une meilleure santé globale, une plus grande vitalité, plus de joie, une plus grande confiance et estime de soi, qui sont les clés de la souveraineté personnelle. Tous les individus retrouvant ainsi leur plein pouvoir agiront comme autant d’étincelles libres qui viendront alimenter le feu commun d’un gigantesque réservoir de force de vie détenant le potentiel de réorienter l’humanité vers la lumière.
Les 10 piliers du bien-être
Il n’existe pas de recette miracle valable pour tous afin de retrouver la pleine santé, la joie, et la force de revendiquer sa liberté et son indépendance. Mais une chose est sûre : seule une approche holistique, globale donc, est susceptible de nous procurer un bien-être à la fois physique, mental et émotionnel qui soit général et durable.
Et c’est bien de cela dont il est question ici, car il ne faudra pas moins pour se mettre en capacité de tenir en respect et dépasser les forces destructrices dévoilées au grand jour par la crise actuelle.
En 2018, je publiais sur Ralentir Pour Mieux Avancer, en accès libre, les 10 piliers du changement, qui ne sont autre, en réalité, que les 10 piliers du bien-être. Ces 10 piliers font réponse aux principales sources de dysfonctionnement humain observables dans nos sociétés post-industrielles, et offrent une approche holistique de guérison afin de pouvoir les dépasser.
Pour tendre vers une santé optimale, il importe de travailler progressivement mais simultanément au renforcement de chacun de ces dix piliers. Toute faiblesse au niveau d’un des piliers étant susceptible de compromettre la solidité de l’ensemble de votre édifice santé/bien-être. Et à l’inverse, tout renforcement d’un seul de ces piliers engendrant un impact positif sur ce même édifice. C’est le principe même de l’approche holistique de la guérison et de la santé.
Voici la liste des 10 piliers du bien-être :
Diverses techniques de contrôle respiratoire ont été utilisées à des fins thérapeutiques depuis des millénaires. La respiration consciente est une façon efficace de prendre la mesure de notre état général de tension physique, mentale et émotionnelle (…)
Il n’y a pas de vie possible sans mouvement. Pratiquer le mouvement conscient, c’est associer le mouvement à l’écoute sereine et bienveillante du corps, de ses besoins et de ses limites, sans conditions de performance. Une combinaison hautement thérapeutique (…)
Notre alimentation peut être le pire des poisons comme le meilleur des médicaments ; une alimentation consciente est une puissantissime source d’énergie et de guérison. Mais au XXIème siècle, la confusion autour de l’alimentation est à son paroxysme. Nous ne savons plus que manger ni comment. Et ce pour plusieurs raisons (…)
Pour recouvrer notre souveraineté, il importe que les pensées dont nous nourrissons notre esprit à longueur de journée soient aussi saines que les aliments avec lesquels nous remplissons notre estomac. Cela implique un travail de déconstruction de nos croyances limitantes, issues de notre conditionnement familial et sociétal (…)
Par la simple observation de ce qui se passe en nous, et en particulier de la relation entre nos pensées, nos émotions et sensations physiques, nous pouvons recouvrer une clarté d’esprit suffisante pour accéder à un niveau de sensibilité et d’intelligence situé au-delà du mental (…)
En faisant la paix avec nos émotions et en dénouant nos blocs émotionnels, nous libérons une quantité importante d’énergie stagnante utilisable pour la recherche de solutions créatives aux challenges de notre vie (…)
L’homme, animal social, a besoin de la compagnie d’autrui. Développer notre réseau personnel de soutien, fait de relations basées sur l’échange, l’entraide, la bienveillance et la proximité, est un gage de souveraineté. En commençant par renforcer la qualité de notre relation à nous-mêmes (…)
Nous sommes partie intégrante de la nature : conçus pour vivre par elle, pour elle, selon ses lois essentielles. Nos modes de vie actuels ne nous permettent plus d’honorer cette interconnexion. L’écothérapie est reconnue pour ses bénéfices sur notre système immunitaire et santé globale (…)
L’adoption d’un mode de vie minimaliste nous libère de notre addiction à toutes les distractions et autres besoins superflus créés de toutes pièces par la société de surconsommation, qui accaparent notre énergie vitale tout en masquant nos besoins authentiques (…)
Lorsque nous avons perdu le contact avec nos aspirations profondes et vivons en n’exploitant qu’une infime fraction de notre potentiel, il est difficile de se sentir en paix. Il est alors nécessaire de ralentir, afin de redéfinir nos objectifs de vie, au-delà de tous les obstacles réels ou construits par notre mental (…)
Vous constaterez aisément que les restrictions imposées par l’état « d’urgence sanitaire », prétendument censées œuvrer en faveur de la santé publique, attaquent de front et fragilisent violemment la quasi-totalité des 10 piliers de notre bien-être.
En effet, au nom d’une soi-disant « lutte contre la propagation de la covid-19 », notre respiration se voit chroniquement obstruée par un masque, notre liberté de mouvement considérablement réduite, nous faisons l’objet d’un conditionnement mental sournois par le biais des médias, vecteurs d’une pensée unique lénifiante, nos émotions sont grossièrement manipulées de la façon la plus pernicieuse qui soit, nos liens sociaux et même intimes sont méprisés, piétinés, sacrifiés, notre droit d’accès à la nature et à ses bienfaits thérapeutiques grandement limité voire purement et simplement supprimé (pour les millions de personnes n’ayant pas le privilège d’habiter à moins d’un kilomètre d’un espace naturel digne de ce nom), nos tendances addictives (matérielles, alimentaires ou autres) sont poussées à leur paroxysme du fait du stress engendré par tous ces bouleversements… Quant à nos objectifs de vie… comment pourraient-ils être redéfinis et poursuivis sereinement dans un contexte aussi anxiogène et destructeur ?
Cette politique « sanitaire » est donc un non-sens médical et moral absolu, et il nous est permis de douter qu’un tel délire soit le fait d’une simple incompétence. D’autant que si les pouvoirs publics souhaitaient réellement protéger la population et enrayer l’épidémie, ils leur suffirait de laisser les médecins prescrire l’hydroxychloroquine aux malades, un traitement simple, efficace et sûr qui a fait ses preuves, et a notamment permis de contrôler et stopper rapidement l’épidémie de Sars-Cov1 de 2002-2003.
Rendre possible un nouveau paradigme
Quoi qu’il en soit, dans ce contexte hostile et démentiel, le meilleur service que nous puissions rendre à nous-mêmes et à la société, est de travailler au renforcement des 10 piliers de notre édifice santé/bien-être. En effet, les bénéfices d’un tel travail sont notamment les suivants :
Renforcement de notre système immunitaire, meilleur antidote contre la peur irrationnelle de la maladie, peur responsable de l’obéissance aveugle à des mesures sanitaires désastreuses pour la santé publique (port du masque, distanciation sociale, confinement, et demain le vaccin OGM en cours de préparation par la mafia médicale…) ;
Renforcement de notre estime personnelle, essentielle pour revendiquer notre légitimité à défendre nos droits et libertés individuelles actuellement en cours d’anéantissement ;
Mise en place de meilleures habitudes d’hygiène de vie, permettant de retrouver un niveau énergétique suffisant pour pouvoir lutter contre toute maladie, mais aussi retrouver l’énergie de lutter contre les abus de pouvoir dont nous sommes victimes et de rebondir face aux difficultés personnelles engendrées par la dictature sanitaire (perte d’emploi, faillite, tensions familiales, isolement, etc…) ;
Développement de notre créativité, permettant de trouver des solutions créatives afin de mieux défendre nos droits et libertés ;
Meilleure gestion de nos émotions, permettant d’optimiser nos ressources énergétiques, de retrouver l’usage de notre cerveau rationnel et non plus d’agir sous le contrôle de notre cerveau reptilien en mode pulsion-réaction, répercussions sur notre bien-être général ;
Meilleure résilience face à n’importe quel type de crise ;
Liste non exhaustive…
Pour être en bonne santé et maintenir un poids optimal, se soucier de la qualité nutritionnelle des aliments est une stratégie bien plus efficace que le comptage des calories ou le suivi de régimes restrictifs.
Pour en savoir plus...
En conclusion, travailler au renforcement des 10 piliers de notre bien-être à l’échelle individuelle, c’est se mettre en position de retrouver la souveraineté personnelle qui nous permettra de relever la tête, et d’avancer vers la lumière du nouveau paradigme, main dans la main avec tous les êtres debout.