Le Sars-Cov2 n’est ni le premier, ni le dernier virus avec lequel l’humanité aura eu à cohabiter. Il est également très loin d’être le plus virulent, et les décès liés à la maladie qu’il peut provoquer sont l’exception et non la règle puisqu’ils concernent quasi exclusivement des personnes en fin de vie et/ou sévèrement immunodéprimées et/ou souffrant de comorbidités. Les décès chez les personnes jeunes et en bonne santé sont statistiquement quasi inexistants, et généralement imputables aux effets secondaires d’un traitement médical inadéquat.
Notre système immunitaire est conçu pour nous défendre face aux virus, et un système immunitaire en bon état de fonctionnement dispose de tous les outils nécessaires pour nous défendre efficacement contre un virus aussi peu virulent, toutes proportions gardées, que le Sars-Cov2. Il est donc pour le moins étonnant, pour ne pas dire intrigant, de constater l’absence quasi totale, parmi les mesures gouvernementales visant à réduire la propagation du Sars-Cov2, de recommandations de santé publique visant au renforcement du système immunitaire de la population française en général, et des « personnes à risque » en particulier.
Simple incompétence ou omission volontaire ? Pour approfondir cette question, je vous recommande de visionner le documentaire « Mal traités », d’Alexandre Chavouet, qui évoque outre les conflits d’intérêts criants ayant conduit au ban du traitement pourtant efficace à base d’hydroxychloroquine, l’omerta totale concernant les approches de santé naturelles dont l’efficacité et la pertinence ont pourtant été mises en évidence par un cortège d’études médicales impressionnant venant confirmer les constats d’une observation empirique séculaire.
Parmi ces traitements naturels potents et sans effets secondaires indésirables, notons notamment la supplémentation en vitamines D et C, en Zinc, la phytothérapie et l’aromathérapie.
Mais au lieu de promouvoir ces traitements peu coûteux, sans dangers notoires, et utilisés de longue date, nos décideurs politiques tentent de nous faire croire qu’un « vaccin » expérimental élaboré à la hâte, sans aucun recul scientifique ni aucune garantie sanitaire, serait la seule et unique perspective de sortie de « crise ». Bafouant ce faisant la règle élémentaire de toute médecine digne de ce nom, à savoir le principe de précaution.
Et lorsqu’on sait que ce sont potentiellement plusieurs milliards d’êtres humains qui serviront de cobayes à cette nouvelle thérapie génique qu’est le « vaccin » à ARN messager, on est en droit de questionner la nature des intentions et la légitimité des décideurs et influenceurs autorisant ou promouvant ces « vaccins ».
Face à ce déferlement d’incohérences et de politiques douteuses, il est nécessaire de ne plus attendre passivement que les « solutions » nous arrivent de l’extérieur, et de reprendre notre santé en mains dès aujourd’hui à notre échelle individuelle. Il revient en effet à chacun d’entre nous de ne plus subir la situation, mais de redevenir acteurs de notre santé personnelle, en faisant appel à notre raison et au bon sens le plus élémentaire.
Pour ce faire, 3 pratiques simples, sans dangers et accessibles à tous, ont un potentiel salvateur inestimable.
PLAN DE L'ARTICLE
TogglePratique numéro 1 : La respiration consciente
Sans être médecins ou experts en santé, nous savons tous, pour commencer, que la respiration est essentielle à la vie. Avec 15 kilogrammes d’air respirés par jour et par personne, la respiration constitue notre première source d’énergie vitale, loin devant l’alimentation. C’est pour cela qu’elle figure en première position parmi les 10 piliers du bien-être.
Or, dans notre monde moderne accablé avant tout par l’épidémie du stress, nous respirons mal. Notre respiration est généralement superficielle et irrégulière, ne permettant pas une oxygénation optimale de nos tissus, ce qui créé un stress chronique pour notre organisme, affectant toute notre physiologie et bien entendu, notre système immunitaire.
En outre, en 2019, ce sont 10 millions de français qui souffraient d’une maladie respiratoire chronique telle que l’asthme ou encore une bronchopneumopathie chronique. Dans ce contexte, l’obligation prolongée du port du masque à l’ensemble de la population française dès l’âge de 6 ans, jusqu’à 10 heures par jour en continu dans certains cas, est absolument préoccupante en termes de santé publique.
Rappelons en effet que nous n’avons strictement aucun recul scientifique sur les effets à long terme du port prolongé du masque, lequel constitue une obstruction à la respiration normale et physiologique, provoquant typiquement des symptômes d’alerte tels que maux de têtes, vertiges, saignements de nez, somnolence, troubles de l’attention, pour ne citer que quelques effets secondaires à court terme.
Outre l’importance de faire valoir notre droit au respect de notre intégrité physique, à l’encontre de laquelle le port obligatoire du masque constitue un assaut inacceptable, chacun d’entre nous peut également agir en faveur de sa santé, gratuitement et très simplement, en pratiquant, aussi souvent que possible, la respiration consciente.
En effet, si nous respirons de façon automatique et inconsciente la plupart du temps, et ce sans interruption depuis notre naissance jusqu’à notre mort, nous avons néanmoins la capacité physique de percevoir, contrôler et réguler notre rythme respiratoire. Cette capacité présente un intérêt majeur, et à travers les différentes cultures, diverses techniques de maîtrise respiratoire ont été utilisées à des fins thérapeutiques depuis des millénaires.
L’une de ces techniques consiste à induire un état de cohérence cardiaque, en adoptant un rythme respiratoire permettant la régularisation du rythme cardiaque. Cette régularisation produit un effet équilibrant sur le système nerveux autonome et, partant, sur toute notre physiologie, incluant le système immunitaire. La cohérence cardiaque est une technique d’une grande simplicité, et de nombreux guides auditifs gratuits sont disponibles sur internet pour mettre en place cette pratique sans aucun investissement de temps ni d’argent.
David O’Hare, spécialiste de la cohérence cardiaque et auteur de nombreux livres sur ce sujet, recommande de la pratiquer pendant 5 minutes, 3 fois par jour, pour des résultats optimaux.
Pratique numéro 2 : L'ensoleillement
Le rôle de la vitamine D, synthétisée par la peau à partir des rayons solaires UVb, est primordial pour la santé humaine. Si cette vitamine anti-oxydante (anti-cancer) est bien connue pour son importance pour la santé osseuse, elle joue également un rôle clé dans la régulation de notre système immunitaire.
Tant et si bien que dès le 22 mai 2020, dans un communiqué appelé : « Communiqué de l’Académie nationale de Médecine : Vitamine D et Covid-19 », l’Académie de Médecine française déclarait :
« La vitamine D joue un rôle dans la régulation et la suppression de la réponse inflammatoire cytokinique à l’origine du syndrome de détresse respiratoire aigu qui caractérise les formes sévères et souvent létales de Covid-19 (…) Une corrélation significative entre de faibles taux sériques de vitamine D et la mortalité par Covid-19 a été montrée. ».
En conséquence, l’Académie de Médecine conseille une supplémentation en vitamine D pour l’ensemble de la population française.
Et pour cause. La littérature médicale est sans équivoque au sujet de l’importance de la vitamine D dans la lutte contre les maladies infectieuses, et notamment les infections respiratoires. Et tout récemment, le 2 novembre 2020, une étude publiée dans la revue Nutrients et conduite par le professeur Cédric Annweiler, chef du service de gérontologie du CHU d’Angers, a mis en évidence une diminution significative du nombre de formes graves et de décès chez les personnes âgées atteintes de la Covid-19 ayant reçu une supplémentation régulière en vitamine D.
Il importe de préciser qu’environ 80% de la population française souffre d’une carence en vitamine D, ce taux étant proche de 100% chez les personnes âgées.
Or, contrairement aux autres vitamines et nutriments essentiels, la principale source de vitamine D n’est pas d’origine alimentaire, mais solaire.
Si à nos latitudes, l’angle des rayons du soleil ne permet pas de synthétiser la vitamine D pendant l’hiver, une exposition solaire adéquate et raisonnée entre les mois d’avril et octobre, peut permettre de constituer un capital vitaminique suffisant pour l’année entière chez les personnes synthétisant et stockant normalement la vitamine D.
Cependant, le temps d’exposition solaire nécessaire afin de permettre la synthèse de 400 IU de vitamine D (apport journalier minimal recommandé, même si de nombreuses études montrent qu’un apport de 1000 à 2000 IU serait en réalité optimal) étant très variable en fonction de l’âge, du type de peau, de la latitude et de l’altitude où l’on se trouve, mais aussi en fonction des saisons et de l’heure de la journée, il est recommandable, en cas de doute sur votre statut vitaminique, de vous faire prescrire un dosage de votre taux de vitamine D sérique (la 25 OHD). Si ce dernier est bas, une supplémentation est recommandable.
Mais quoi qu’il en soit, carence ou pas, s’exposer quotidiennement au moins 15 minutes au soleil, avec le visage, les mains et les avant-bras découverts, de préférence en milieu de journée, et sans crème solaire (laquelle bloque les UVb), est un geste santé dont on sous-estime les bienfaits.
Car outre la production de vitamine D (d’avril à octobre uniquement en France), l’exposition à la lumière solaire permet la sécrétion de mélatonine, hormone régulatrice du sommeil, et de sérotonine, l’hormone du bien-être dont le déficit est relié au risque de dépression et de troubles du sommeil. De récentes études ont également montré l’effet direct du soleil sur le système immunitaire, notamment par la stimulation de l’action de nos lymphocytes T.
Contrairement aux idées reçues, l’exposition au soleil n’est pas cancérigène (sauf en cas d’exposition excessive et de brûlures). A l’inverse, des études montrent l’effet protecteur de l’exposition solaire face au risque de cancer, y compris du cancer de la peau. S’il est souhaitable de demander conseil à votre médecin afin de déterminer la durée et les conditions d’exposition adéquates pour vous en fonction notamment de votre phototype et des autres paramètres à prendre en compte, il serait vraiment regrettable de vous priver de cette source de bien-être gratuite et inépuisable.
Pratique numéro 3 : La pensée positive
Les personnes heureuses vivent en moyenne plus longtemps et en meilleure santé que les personnes souffrant de dépression, c’est de notoriété publique. La force créatrice du mental est indéniable. Avec à nos pensées, nous pouvons transformer un paradis en enfer, ou un enfer en paradis. C’est pour cela que la plupart des personnes à grand succès, et quasiment tous les athlètes de niveau olympique pratiquent la visualisation positive.
Avoir conscience et confiance dans le fait que nous détenons en nous-mêmes toutes les ressources nécessaires pour influencer positivement notre vie en général, et notre santé en particulier, est une attitude propice aussi bien à la prévention qu’à la guérison des maladies. Cela permet notamment de diminuer notre taux de cortisol, l’hormone du stress, dont l’élévation chronique a un effet immunodépresseur.
Le psychologue et pharmacien Emile Coué (1857-1926), découvreur de l’effet placebo, a aidé à guérir des milliers de personnes venues le voir des quatre coins du monde grâce à sa méthode basée sur l’auto-suggestion. Cette méthode, peu intéressante il est vrai pour les laboratoires pharmaceutiques et autres chercheurs de profit, fut par la suite décriée et tombée en désuétude. Mais au cours des dernières décennies, les avancées de la recherche dans les neurosciences, et tout particulièrement la compréhension nouvelle du phénomène de neuroplasticité, viennent confirmer la pertinence et la légitimité scientifique de l’approche de Coué.
La pensée positive peut notamment se construire grâce à la pratique de la pleine conscience, laquelle consiste à prêter une attention détachée à nos pensées et ressentis internes. En pratiquant ainsi la présence à soi, notamment par le biais de la méditation, nous devenons peu à peu conscients de nos pensées automatiques et compulsives limitantes voire auto-destructrices. Une fois ces biais négatifs identifiés, il devient possible de les désamorcer en les voyant pour ce qu’ils sont (des biais cognitifs, par définition irrationnels) et en les substituant systématiquement à des pensées plus réalistes et plus bénéfiques. Contribuant ainsi à retrouver, progressivement, notre intégrité mentale et physique.
La pratique de la gratitude a également des effets positifs mesurables (et mesurés) sur la santé. De nombreux petits exercices très simples peuvent être facilement intégrés à notre quotidien afin de renforcer le « muscle » de la gratitude, afin que cette dernière devienne petit à petit une attitude de vie par défaut. Des « listes de gratitude » aux « lettres de remerciements » en passant par les « 3 kifs par jour », les astuces ne manquent pas pour réapprendre à apprécier et se réjouir des choses du quotidien dont nous ne réalisons plus l’importance qu’une fois qu’elles viennent à nous manquer.
Pour être en bonne santé et maintenir un poids optimal, se soucier de la qualité nutritionnelle des aliments est une stratégie bien plus efficace que le comptage des calories ou le suivi de régimes restrictifs.
Pour en savoir plus...
Il n’est rien de plus ridicule que de se déclarer « en guerre » contre un virus. Nous en ingérons des milliers à chacune de nos inspirations, et ce, avec ou sans masque… Les virus, quels qu’ils soient, n’ont ni plus ni moins leur place que nous sur le grand échiquier de la vie, et sont partie intégrante du même tout que celui qui nous englobe. Quant à la mort, elle fait partie de la vie. Le Sars-Cov2 ne change donc rien à la donne, et vouloir redéfinir les principes de la vie en société du fait de sa présence est d’une absurdité abyssale.
Les personnes au pouvoir et les influenceurs, politiques, médiatiques ou scientifiques, qui poussent dans ce sens n’ont donc aucune crédibilité et il serait dommageable de baser nos comportements et pratiques de santé sur leurs recommandations et exhortations. Plus que jamais, les clés de la maîtrise de votre santé sont entre vos propres mains. Les 3 pratiques présentées dans cet article n’en sont que quelques exemples parmi tant d’autres.
Mais attention ! Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Je ne dis pas que pratiquer la cohérence cardiaque, l’ensoleillement et la pensée positive vous garantiront une immunité totale contre la Covid-19, ni en préventif ni en curatif, ni plus ni moins qu’aucun vaccin ou que n’importe quel autre traitement.
Cet article a pour unique but d’éveiller les consciences vers une autre voie possible en matière de santé publique, celle de la responsabilisation et de l’autonomisation de chacun dans la prise en charge de sa santé, et de montrer que cela peut commencer par des pratiques simples et à la portée de tous. Face à la maladie, il n’existe aucun remède miracle universel, d’où la nécessité d’une approche holistique de la santé.